Depuis des millénaires, quand l’homme travaille le raisin il obtient le vin. Puis quand il travaille le vin, il obtient le vin aigre, le vinaigre. Le premier complice de cette transformation est l’air. Aussi, on ne s’étonnera pas de devoir les premiers vinaigres aux premiers fûts de vin accidentés durant leur transport ! (*)
L’air libre contient des bactéries qui forment une pellicule sur le vin. On l’appelle la mère du vinaigre (fermentation acétique).
Mais on ne fait pas de bon vinaigre sans un bon vin... et un bon air !
Fabien Weiss a choisi le sien : ce sera l’air magique de la forêt de Brocéliande.